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CELINE的专集(2)-微笑
作者:未知  文章来源:互联网  点击数  更新时间:2007-07-24 11:48:09  文章录入:admin  责任编辑:admin

S'il suffisait d'aimer

 'S'il suffisait d'aimer' est le quatrième album studio de Céline. Ce projet réunit à nouveau Céline Dion et Jean-Jacques Goldman, qui avaient déjà travaillé ensemble pour le fameux album 'D'eux' (également appelé 'The French Album') qui s'est vendu à pràs de 6 millions d'exemplaires dans le monde. "S'il suffisait d'aimer" a été entièrement écrit par Jean Jacques Goldman, sauf pour deux chansons écrites par Erick Benzi ("Papillion" et "Terre").

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C'est donc la même couleur musicale avec quelques registres vocaux différents,
d'autres thèmes que l'habitude de travailler et le temps partagés ont permis
d'aborder.


Published By: I.R.G./Duffield Music. Duffield Music administré par Sony/ATV Music Publishing Canada (SOCAN)

 

Zora sourit>

Une rue, les gens passent
Les gens comme on les voit
Juste un flux, une masse
Sans visage, sans voix
Quel étrange aujourd'hui
Quelque chose, mais quoi ?
Désobéit

Une rue comme d'autres
Et le temps se suspend
Une tache, une faute
Et soudain tu comprends
Impudence inouïe
Insolite, indécent
Zora sourit

Zora sourit, aux trottoirs, aux voitures, aux passants
Au vacarme, aux murs, au mauvais temps
A son visage nu sous le vent
A ses jambes qui dansent en marchant
A tout ce qui nous semble évident
Elle avance et bénit chaque instant
Zora sourit

Des phrases sur les murs
Des regards de travers
Parfois quelques injures
Elle en a rien à faire
Elle distribue ses sourires
Elle en reçoit autant
Zora sourit, effrontément
Zora sourit, insolemment

Zora sourit pour elle, elle sourit d'être là
Mais elle sourit pour celles, celles qui sont là-bas
Pour ces femmes, ses soeurs qui ne savent plus sourire
Alors, des larmes plein le coeur, des larmes plein la vie
Zora sourit, Zora sourit, Zora sourit

Je chanterai>Et quand nous aurons fait le tour
de nos ultimes projets
Quand nous apprendrons à aimer nos échecs
et nos regrets
Quand nous en serons à ouvrir
nos livres de souvenirs
Je chanterai, je chanterai, je chanterai
je chanterai toujours

Quand les rêves de nos enfants
deviendront nos espérances
Quand leurs chagrins d'amour seront les nôtres
et notre souffrance
Quand nos regards nous suffiront
quand nos pas seront les mêmes
Je chanterai, je chanterai, je chanterai
je chanterai toujours

On dit ces choses, on oublie parfois, quand on rêve
Ou qu'on est ivre
Je te les dirai 100 000 fois, et ça m'aide tant à vivre

Quand nos passés, quand tous ces jours
seront notre vraie richesse
Quand je saurai tout de tes dons
quand je saurai tes faiblesses
Quand l'amour aura d'autres gots
que la passion, le désir
Je chanterai, je chanterai, je chanterai
je chanterai toujours
Et je t'aimerai, je t'aimerai
je t'aimerai comme au premier jour
Je chanterai, je t'aimerai

En attendant ses pas>

En attendant ses pas, je mets la musique en sourdine, tout bas
Trop bête, on ne sait pas, s'il sonnait
si je n'entendais pas cette fois
En attendant ses pas ce matin-là

Un soir ? Un matin ? Un hiver, une aube
Un printemps qu'il choisira
Rien, je n'en sais rien, je mets des lumières
Les nuits au bord des chemins

En attendant ses bras je peins des fleurs aux portes
Il aimera ça
En attendant le doux temps de ses bras

Et je prends soin de moi, rouge à mes lèvrés, à mes joues
Pour qu'il ne voit pas
Quand trop pâle parfois, ne surtout pas
qu'il me surprenne comme ça

Il y a de l'eau fraîche et du vin
Je ne sais pas ce qu'il choisira
Je ne sais s'il est blond, s'il est brun
Je ne sais s'il est grand ou pas
Mais en entendant sa voix je saurai
Que tous ses mots, tous, seront pour moi
En attendant le doux temps de ses bras

J'y pense tout le temps à cet instant, oh quand on se reconnaîtra
Je lui dirai c'était bien long, non, je ne lui dirai sûrement pas
En attendant ses pas, je vis, je rêve et je respire pour ça
En attendant juste un sens à tout ça

Refrain

En attendant juste un sens à tout ça, tout ça

Papillon>

Tombent les feuilles
Aux jours, plus courts
qui retiennent
Mon corps et ma voix
Je voulais vous dire
Que je vous aime

Cocon qui s'éveille
Aux seuls parfums
que j'attends
Au fond de mes rêves
Souvent
Quand mes yeux s'éclairent
Longtemps
Sur vos promesses blanches
Sans y voir le piège
qui danse

Papillon épéhmère
Aux ailes de verre
Prisonnière du fil
de vos secrets

Papillon qui espère
Juste un peu de lumière
Pour scher ses couleurs
Au feu de vos désirs

Si forte est ma fièvre
De vous, si doux
mon prince
J'ai perdu les mots
Je voudrais vous dire
Combien je vous aime

L'abandon>

Le soleil en automne, indulgent
Les peaux nues se donnent aux tièdes vents
Là-bas les tempos paraissent
Battre au rythme paresseux du temps
L'abandon, tout s'apprend

Caresses des vagues aux chauds courants
Le sable doux, bel et tendre amant
Là-bas les danses infinies
Nous mélangent et l'amour aime la vie
L'abandon, c'est appris, la nature initie ici

On sait déjà ces moments-là
Le soleil avait préparé ça
L'abandon tout petit
Les îles initient à l'amour ici

On sait déjà, ces rythmes-là
Les feux d'en bas, ce lascif état
La chaleur et le vent
Oh tout doucement
mon île m'apprend

Le rhum aux hommes attendrit les bras
Le rire aux femmes, aux filles, aux éclats
Les nuits velours ici bas
Les mêmes à Panama, mêmes à Cuba
L'amour a faim de toi et vice versa

Des corps à corps, amoureux soldats
Le plaisir en ces brûlants combats
Tout ici : l'eau, le climat
Tout est désir, on n'y échappe pas
L'abandon, tout s'apprend
Dans les danses et les jeux d'enfants

Refrain (x2)

Un pas de toi, un pas de moi
Les bassins collent et bougent tout bas
Tout s'apprend, l'abandon
Je vais où tu vas et même au-delà

Tout contre toi, la nuit sans loi
Que l'instant nous soulève et basta
Le moment ce moment, rien n'est plus
Important que ça

On sait déjà ces moments-là
Le soleil avait préparé ça
La chaleur et le vent
Oh tout doucement
mon île m'apprend

Dans un autre monde>

Loin, loin, c'était certain
Comme une immense faim, un animal instinct
Oh, partir, partir et filer plus loin
Tout laisser, quitter tout, rejoindre un destin

Bye bye, mais faut que j'm'en aille
Adieu tendres années, salut champs de bataille
Et sentir, oh sentir et lâcher les chiens
Y'a trop de trains qui passent, ce train c'est le mien

Et tant pis pour moi, et tant pis pour nous
J'aurais pu rester où la roue tourne, où tout est doux
Moi j'avais pas l'choix, ça cognait partout
Le monde est ta porte et se joue des verrous

Rendez-vous dans un autre monde
ou dans une autre vie
Quand les nuits seront plus longues
plus longues que mes nuits
Et mourir, oh mourir, mais de vivre et d'envie
Rendez-vous quand j'aurai dévoré mes appétits

Beau, beau de bas en haut
J'aimais manger sa peau, j'aimais boire à ses mots
Mais trop tard, ou brouillard, ou bien trop tôt
C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo

Bye bye, faut que j'm'en aille
Une croix sur ses lèvres et ma vie qui s'écaille
Et s'offrir et souffrir et tomber de haut
Et descendre et descendre au fond sur le carreau

Et tant pis pour moi, et tant pis pour lui
J'pourrais l'attendre ici, rien ne s'oublie tout est gris
Moi j'avais pas l'choix, ça cognait aussi
C'est le monde à ta porte et tu lui dis merci

Refrain

Rendez-vous dans un autre monde ou dans une autre vie
Une autre chance, une seconde et tant pis pour celle-ci
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui
Rendez-vous quelque part entre ailleurs et l'infini
Rendez-vous quand j'aurai dévoré mes appétits
Rendez-vous quelque part entre ailleurs et l'infini
C'est le monde à ta porte et tu lui dis merci

Rendez-vous dans un autre monde ou dans une autre vie
Une autre chance, une seconde et tant pis pour celle-ci
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui

Ticket pour autre rencontre, rencard au paradis
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui
Au plaisir à plus tard et plus tard est si joli

Sur le même bateau>

Sur les passerelles à l'embarquement
Populaires ou premières, derrière ou devant
On monte les malles, des quais sur le pont
On charge dans les cales de l'acier, des jurons
Ne manque plus qu'un signe, du capitaine un mot
Des cabines aux cuisines
Sur le même bateau

Un doigt de champagne, un toast au départ
Dans les soutes le bagne et les heures de quart
Des soirées mondaines, des valses ou tangos
Aux ombres, à la peine, un mauvais tord boyau
En attendant l'escale, Athènes ou Macao
Sous les mêmes étoiles
Sur le même bateau

Au feu des machines, souffre matelot
Près de la piscine, les belles et les beaux
Des salles de moteurs, des salons joyaux
Ici la sueur, le plus grand luxe en haut
Mais vienne une tempte, une lame en sursaut
Toutes les âmes s'inquiètent
Sur le même bateau

Quand les astres s'en mêlent sur l'immense océan
Quand tout devient si frêle face aux éléments
Plus de rang plus de classe, plus de bagne ou de beau
Chacun la même angoisse
Sur le même bateau

Tous les blues sont écrits pour toi>

"I woke up this morning baby,
the blues was pouring out of me"
Cent fois ces mots je les ai dits
ces mots que d'autres avaient écrits
De toute ma voix, de toute mon 頼e
"with all the soul that I can"
Le blues comme on me l'a appris
"I woke up this morning baby"
mais ce matin-là, j'ai compris

La peine aux longs champs de coton
j'imaginais de mon cocon
Les coups, le sang, les temps boueux
j'avais mal en fermant les yeux
"His baby's far away"
j'ai des pardons, j'ai des prières
Mais l'blues c'est pas des phrases en l'air

"I woke up this morming baby"
mais ce matin t'as vraiment froid
Tu comprends du fond de ta poitrine
tous les blues sont crits pour toi

"Oh, oh I feel, the blues in me
Nobody knows how I really feel
Nobody knows, nobody cares"
Les mots te brûlent un par un comme s'ils
Comme s'ils t'appartiennent enfin
Ces blues étaient les tiens

De toute ma voix, toute mon âme, "with all the soul that I can"
Le blues qu'on n'm'a jamais appris
"I woke up this morning, the blues was pouring out of me
Nobody knows, nobody sees"

 



 

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