Paul Éluard (de son vrai nom Eugène Émile Paul Grindel ) est un Poète français, né à Saint-Denis, le 14 décembre 1895, mort le 18 novembre 1952 à Charenton-le-Pont. Il choisit à l’âge de vingt et un ans, le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhéra au dadaïsme et fut l'un des piliers du Surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée.
OEuvres « Premiers poèmes » (1913) « Le Devoir » (1916) « Le Devoir et l'Inquiétude » (1917) « Les animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux » (1920) « Une vague de rêve » (1924) « Mourir de ne pas mourir » (1924) « Au défaut du silence » (1925) « Capitale de la Douleur » (1926) « Les Dessous d'une vie ou la Pyramide humaine » (1926) « L'Amour la Poésie » (1929) « Ralentir travaux » (1930 ) « À toute épreuve » (1930) « Défense de savoir » (1932) « La Vie immédiate » (1932) « La rose publique » (1935) « Facile » (1935) « Les Yeux fertiles » (1936) « Cours naturel » (1936) « Poésie et vérité 1942 » (1942) « Liberté » (1942) « Avis » (1943) « Les sept poèmes d'amour en guerre » (1943) « Au rendez-vous des Allemands » (1944) « Poésie ininterrompue » (1946) « Le cinquième poème visible » (1947) « Notre vie » (1947) « À l'intérieur de la vue » (1947) « La courbe de tes yeux